Les barbares ne sont pas dans les steppes de Tartarie mais dans nos universités
Le 10/03 au soir, 300 personnes occupent la Sorbonne. Pour prendre d'assaut la Sorbonne, les gauchistes n'ont pas hésité à violemment agresser ses vigiles.
Un nouveau cap a été franchi, depuis Mai 68, jamais la Sorbonne n'avait été occupée, les grévistes s'y étaient toujours cassés les dents. La Sorbonne est un symbole.
La police ne pourra déloger les squatteurs que sur réquisition du rectorat...mais qu'attend donc le rectorat? Les lieux ont déjà été dégradés par ces gauchistes (rappelons que la Sorbonne est un monument historique, qui va payer les réparations?).
Le RED dénonce vigoureusement cette situation honteuse. Non seulement une poignée d'activistes d'extrême gauche, de l'UNEF à la CNT, continue à se permettre de saboter l'année universitaire de tous les étudiants, mais en plus, ce sabotage se fait avec la complicité du gouvernement qui n'a strictement rien fait pour empêcher l'occupation de la Sorbonne alors qu'il en avait largement les moyens.
Le CPE ne fut qu'un vague prétexte, ces gauchistes ne savent même pas ce qu'est le CPE, voyez donc à quoi va servir l'occupation de la Sorbonne: elle va devenir une tribune pour les sans papiers, les intermittents du spectacle, et les "précaires" (source AFP). Celà ne concerne en rien le quotidien des étudiants, ces gens ne sont absolument pas étudiants.
La peur a gagné le gouvernement Villepin qui nous montre sa couardise en abandonnant lachement la majorité des étudiants qui souhaite poursuivre son année universitaire dans des conditions saines.
Etudiants, face à la lacheté et à l'inaction, il est grandement temps de réagir, soyez nombreux dimanche 12 mars, place de la Sorbonne à 15 heures pour exiger le déblocage des facs et le retour à l'ordre.
Un nouveau cap a été franchi, depuis Mai 68, jamais la Sorbonne n'avait été occupée, les grévistes s'y étaient toujours cassés les dents. La Sorbonne est un symbole.
La police ne pourra déloger les squatteurs que sur réquisition du rectorat...mais qu'attend donc le rectorat? Les lieux ont déjà été dégradés par ces gauchistes (rappelons que la Sorbonne est un monument historique, qui va payer les réparations?).
Le RED dénonce vigoureusement cette situation honteuse. Non seulement une poignée d'activistes d'extrême gauche, de l'UNEF à la CNT, continue à se permettre de saboter l'année universitaire de tous les étudiants, mais en plus, ce sabotage se fait avec la complicité du gouvernement qui n'a strictement rien fait pour empêcher l'occupation de la Sorbonne alors qu'il en avait largement les moyens.
Le CPE ne fut qu'un vague prétexte, ces gauchistes ne savent même pas ce qu'est le CPE, voyez donc à quoi va servir l'occupation de la Sorbonne: elle va devenir une tribune pour les sans papiers, les intermittents du spectacle, et les "précaires" (source AFP). Celà ne concerne en rien le quotidien des étudiants, ces gens ne sont absolument pas étudiants.
La peur a gagné le gouvernement Villepin qui nous montre sa couardise en abandonnant lachement la majorité des étudiants qui souhaite poursuivre son année universitaire dans des conditions saines.
Etudiants, face à la lacheté et à l'inaction, il est grandement temps de réagir, soyez nombreux dimanche 12 mars, place de la Sorbonne à 15 heures pour exiger le déblocage des facs et le retour à l'ordre.
2 Comments:
Exigeons également que soient otées immédiatement toutes les affiches et banderoles "Sorbonne en grève".
"Etudiant en grève" sur les autocollants passe encore car le ridicule ne tue pas, mais depuis quand décrète-t-on qu'une communauté est définitivement damnée quand moins de 3% des individus ont la peste...
N'oublions pas que la renommée de nos universités à l'international passe par les media, et donc par l'image : ces banderoles qui sont déjà la risée des journalistes étrangers sont de ce fait outrancières.
Ca y est, cette nuit les CRS on evacués les gauchos de la sorbonne, au menu lacrymo et coups de matraque, bref de quoi les fair entrer dans le droit chemin! ;)
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