De retour d'URSS
Pour la première fois dans l’histoire de Paris I une liste véritablement de droite s’est présentée aux élections des conseils centraux.
Naturellement, notre présence n’a pas été du goût de tout le monde !
Après avoir lamentablement tenté de faire invalider notre profession de foi pour un logo ayant heurté la sensibilité stalinienne de certains, nos gauchistes ont eu la stupéfaction de nous voir franchir le Rubicon : nous avons non seulement déposé nos listes, mais en plus nous tractions, comble de l’effronterie !
Notre campagne s’est déroulée à merveilles, nous avons pu aller à la rencontre des étudiants sur de nombreux sites, y compris Tolbiac, bastion bolchevik. Nos bobos de l’UNEF ont riposté par de jolies affiches appelant à la mobilisation contre « l’extrême-droite », la liste juive les a vite imités, avec une affiche bien plus exquise.
Nous avons également pu faire quelques interventions en amphi, à ce jeu, l’UNEF n’a pas hésité à pousser la perfidie à son paroxysme en expliquant aux étudiants qu’ils devaient impérativement voter pour faire barrage à « l’extrême droite » qui possédait déjà un siège, or ces propos ont été tenus le 30/11, et le dépouillement a eu lieu le…1/12, l’UNEF aurait donc vu les bulletins glissés dans l’urne avant tout le monde ?
Le mardi 29, nos militants ont eu l’immense honneur de recevoir la visite d’une horde de gauchistes (CNT, SUD, et assimilés), pas contents de voir des « vilains fachos » distribuer leurs tracts au Panthéon, or, cette clique n’étant évidemment pas composée d’étudiants ayant cours au Panthéon, ils ont donc fait le voyage rien que pour nous ! Mais il est vrai que les gauchistes enragés restent bien souvent en premier cycle, car organiser des grèves étant un véritable travail à plein temps, la plupart d’entre eux n’auront jamais le privilège de quitter Tolbiac, où l’on est plus à l’aise qu’à la Sorbonne ou au Panthéon pour fumer des joints…
Naturellement, notre présence n’a pas été du goût de tout le monde !
Après avoir lamentablement tenté de faire invalider notre profession de foi pour un logo ayant heurté la sensibilité stalinienne de certains, nos gauchistes ont eu la stupéfaction de nous voir franchir le Rubicon : nous avons non seulement déposé nos listes, mais en plus nous tractions, comble de l’effronterie !
Notre campagne s’est déroulée à merveilles, nous avons pu aller à la rencontre des étudiants sur de nombreux sites, y compris Tolbiac, bastion bolchevik. Nos bobos de l’UNEF ont riposté par de jolies affiches appelant à la mobilisation contre « l’extrême-droite », la liste juive les a vite imités, avec une affiche bien plus exquise.
Nous avons également pu faire quelques interventions en amphi, à ce jeu, l’UNEF n’a pas hésité à pousser la perfidie à son paroxysme en expliquant aux étudiants qu’ils devaient impérativement voter pour faire barrage à « l’extrême droite » qui possédait déjà un siège, or ces propos ont été tenus le 30/11, et le dépouillement a eu lieu le…1/12, l’UNEF aurait donc vu les bulletins glissés dans l’urne avant tout le monde ?
Le mardi 29, nos militants ont eu l’immense honneur de recevoir la visite d’une horde de gauchistes (CNT, SUD, et assimilés), pas contents de voir des « vilains fachos » distribuer leurs tracts au Panthéon, or, cette clique n’étant évidemment pas composée d’étudiants ayant cours au Panthéon, ils ont donc fait le voyage rien que pour nous ! Mais il est vrai que les gauchistes enragés restent bien souvent en premier cycle, car organiser des grèves étant un véritable travail à plein temps, la plupart d’entre eux n’auront jamais le privilège de quitter Tolbiac, où l’on est plus à l’aise qu’à la Sorbonne ou au Panthéon pour fumer des joints…
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